La BOULOMIE de Jacques Fontaine

Le gabarit symbolique

Vérifie la présence de tous les éléments de base de la Voie maçonnique

La Voie maçonnique se compose de trois éléments : un rite de passage, un parcours de sagesse et un engagement citoyen. Le rite de passage, de l’initiation aux réceptions à tous les degrés, obéit à des constantes symboliques, rituelles. De même le parcours de sagesse reste le même, quel que soit le degré et le rite.

Les deux s’appuient sur le gabarit de la spiritualité maçonnique ; à savoir, les arcanes que l’on retrouve ne varietur du 1er au 33e degré1. Qu’ils soient délivrés dans la réception à chaque degré, ou qu’ils fassent partie de l’enseignement du degré :

1 Cela s’entend pour le REAA, mais aussi pour les autres rites de style français : Le RF dans toutes ses variantes, le RER et le Rite de Memphis-Misraïm. Ne sont pas concernés les rites anglo-saxons, Émulation, York, Standard d’Écosse.

ü Les officiers et leur fonction

ü Un lieu, un temps pour la tenue

ü Des mots sacrés, de passe

ü La marche, les pas pour entrer

ü Le début ou ouverture et la fin ou fermeture

ü Les voyages

ü Des épreuves

ü La circumambulation

ü Un tableau de loge au centre du local

ü Une mise à l’ordre et un signe

ü Une batterie et une acclamation

ü La technique de prise de parole

ü Des nombres, non liés à l’âge, de valeur arithmologique

ü Un âge

ü Un attouchement

ü Une ou des couleurs

ü Des lumières

ü Des colonnes, des piliers

ü Des outils ou des instruments

ü Des formes géométriques.

Soit, au total, une vingtaine d’éléments, qui traduisent la structure ésotérique de base de tous les degrés. Ce qui est ajouté dans tel ou tel degré, renforce constamment un élément du gabarit. Ces éléments habillent en effet, la structure sacrée universelle, par les vêtements de la culture maçonnique qui ressortit elle-même à plusieurs cultures occidentales : La chrétienté, les Lumières, l’alchimie, les Rose-Croix…1. Ainsi, la culture maçonnique appelle le début et la fin d’une action dans laquelle on est engagé, c’est la structure humaine : l’ouverture et la fermeture des travaux. Autre exemple. La batterie et l’acclamation, sont des éléments de notre culture pour désigner la plaisir de faire un bruit précis à l’unisson ; pour se sentir appartenir au groupe. En dernier, la circumambulation et les voyages, sont les vêtements maçonniques du besoin humain de se retrouver en son centre, de descendre en soi.

1 Voir, dans le glossaire, les mots « strates » et « histoire de la Franc-maçonnerie ».

2 « Afrèrement » - Voir le glossaire.

3 « Cherchant » - Voir le glossaire.

4 « L’amour et le permis » génèrent, dans notre culture maçonnique, la voie de l’amour et la voie de l’oeuvre, qui s’enlacent du premier au dernier degré. Voir mes ouvrages : L’Éveil, L’Élan, l’Essor et L’Envol, tous édités par Detrad.

Mais il manque un élément à cette liste. Le plus important de tous ; celui sans lequel tous les éléments du gabarit ne sont pas efficients. Cet élément, c’est la fraternité. Elle est la cause et la conséquence de la Voie, l’alpha et l’oméga du chemin, le toit et les fondations du temple. Je te renvoie, dans le glossaire, aux mots « fraternité » et « frérocité ». En permanence, dans les tenues et en dehors, nous sommes les uns avec les autres dans une relation telle, que je vais jusqu’à prétendre que l’afrèrement2 est la clef de voûte de notre édifice. S’il est une indéniable réussite de l’Ordre en général, de Pittsburg à Ankara, et du Cap à Helsinki, c’est bien l’intensité et la qualité de cette fraternité qui nous anime toutes et tous, cherchant3 que nous sommes. À partir de là, la Voie maçonnique est à la fois initiée, et consolidée. Tant que la fraternité, vécue à notre manière, qui ne se confond plus avec la fraternité chrétienne, est vivante, chaleureuse et attentionnée, les possibles sont ouverts. Parce qu’elle répond à deux empreintes psychiques qui remontent à la petite enfance : le soin et la loi, ou encore : l’amour et le permis4.

Les 20 éléments, et la fraternité constituent donc le gabarit. Il cautionne tous les degrés. En outre, tu remarqueras qu’ils sont présents, aussi bien dans les Loges dites symboliques, que dans celles dites « sociétales ». Nous sommes ici, dans une fonction transobédientielle et tous rites. Je te suggère d’aller voir la planche consacrée au gabarit. Tu pourras ainsi constater que, pour que la Voie soit efficace, au gabarit symbolique doivent s’adjoindre un profil émotionnel et un socle des valeurs. C’est la trinité, le visa qui accorde à une loge, la qualité de « maçonnique ». Tu remarques, bien sûr, que ce visa n’a rien à voir avec les querelles picrocholines de reconnaissance et de régularité, oripeaux de cette cratophilie, cet amour du pouvoir que dénonça sans relâche, Daniel Beresniak, mon maître.

 

Amuse-toi avec les Nombres en créant des trames 

Recherche les points flous du rituel pour les améliorer

Le rituel ? Pour beaucoup d’entre nous, il n’est pas question d’y toucher. Nous avons un rite, et nous nous y tenons. Seule l’obédience, dans des commissions du rituel, peut se permettre de faire des modifications. Qui ne souscrirait à la mise en garde de Daniel Beresniak ? Voici ce qu’il affirme : « Un rituel trop compliqué ou trop simplifié ou trafiqué de manière à "injecter", à dose plus ou moins forte, une idéologie sectaire, religieuse ou politique, fera autant de mal qu’il peut faire de bien. Le remède peut devenir poison ». Il n’y va pas de main morte quand il ajoute : « Créer ou réviser un rituel est aussi dangereux qu’approcher une torche d’un baril de poudre ». Voilà de quoi refroidir celles et ceux qui estiment qu’une virgule en plus, en moins, ne prête pas à conséquence. C’est ainsi que plusieurs d’entre nous sont plutôt sourcilleux et refusent le moindre vagabondage : « Comme cela, il n’y a pas de surprise, on sait où on va. C’est conforme au rite, dans l’obédience. D’ailleurs, c’est un héritage du passé et nos Anciens savaient ce qu’ils faisaient ». On préfère alors, oublier pour un temps, les adaptations mineures que la Loge a faites avec le temps. Comme toutes les Loges, d’ailleurs.

J’entends bien ! Néanmoins, je prétends que les temps sont venus de réévaluer tout doucement nos usages rituels. Parfois, j’ai envie de répliquer à ceux, à celles qui se disent « rigoureux », que cette rigueur est le paravent d’une résistance au changement. Au fond, je les crois plutôt un tantinet « rigoristes ». Il est vrai, commenterait un psychanalyste, que le rituel est un symptôme d’une structure, dite obsessionnelle. Pas une maladie, c’est « normal »1! Mais cela entraîne la crainte de ce qui est nouveau, le recul devant l’aventure, même si elle est modeste.

1 « Normal » - Adjectif qui souvent indique le symptôme d’une personne atteinte de « normose « , cette pathologie de l’intégration de la norme pointée par Ferdinand Wulliemier. Heureusement, selon moi, les initiés(es) en quête véritable, gardent des souplesses, des interstices de liberté, qui font d’eux(elles) des cherchants(es).

Nos moeurs changent vite ces temps-ci, et les Frères et Soeurs qui commencent à nous succéder, n’auront plus les mêmes demandes vis à vis d’une Voie, que je résume en quatre mots : Une spiritualité pour agir. Entre autres nouveautés, on peut prédire sans trop de risques, qu’ils(elles) seront plus exigeants sur la qualité du rituel, son contenu et sa transmission. Un chantier que je trouve exaltant s’ouvre à nous. Et la rigidité devrait souvent se convertir dans le flou. Car c’est dans les espaces interstitiels ouverts, que notre avenir d’initiés(es) peut se glisser.

« Mais quoi, dit un Frère qui refuse le flou, notre rituel n’a pas à être changé. Il est universel ! » Oui, il a, en partie, raison. Le cabinet de réflexion, les voyages et les épreuves, le serment, le meurtre d’Hiram et la palingénésie. Voici des symboles et des mythes, bien ancrés dans notre psychisme. D’aucuns parleraient d’anabase et de  catabase 1; d’autres, d’inconscient collectif. Mais, ce Frère pourrait bien avoir tort aussi. Voici pourquoi.

1 « Anabase » - la montée ; « Catabase » - la descente – Voir le glossaire.

2 « Gabarit maçonnique » - Le minimum d’arcanes : ritèmes, mythes et symboles, qui caractérisent la Franc-maçonnerie de style français – Voir le glossaire.

Le rituel, c’est comme un oignon, il est entouré de plusieurs pelures. Le coeur, c’est la structure, celle de tous les rites de passage, des mystères d’Eleusis aux Aborigènes d’Australie. Après on épluche la culture. Pour nous, cela correspond à une culture maçonnique en général : le gabarit2, et à sa déclinaison en particulier, dans différents rites. Déjà là, nous nous approchons de la surface. Nous y trouvons la lecture, qu’en fait telle obédience et chaque loge. En quelques mots, je résume ce propos liminaire. La structure est inamovible, la culture est discutable, et la lecture se révèle modifiable. Exemple tiré de l’initiation. Ingérer quelque chose fait partie du patrimoine humain dans de telles cérémonies. Pas touche ! Ingérer une boisson plutôt qu’un aliment, mérite réflexion. Quant à choisir de l’aloès, du Fernet Branca ou une autre boisson amère, c’est au choix. Sous certaines conditions, nous allons le voir. Nous sommes alors dans la zone du flou, c’est à dire de l’interprétation, de la forme et non du fond.

Par expérience, je recommande le flou dans trois situations de tenue de Loge. Qui dit flou dit liberté du choix, marge de manoeuvre qui appelle une décision. Regardons, dans chaque cas, la souplesse possible et la manière dont s’exerce cette liberté :

Première situation - Je me rappelle un très ancien de ma Loge qui, un soir que le cas se présentait, posa bien les termes du changement : « Ajouter, oui . Modifier, parfois. Retrancher, jamais ! ». Je le suis bien, car il y aurait tout à craindre qu’on ne tombe, avec une suppression, sur un élément de culture profonde, voire de structure. Et alors, notre message purement humain, perdrait de sa vigueur. Je crois que les Anciens de nos Loges sont assez expérimentés pour décider, ensemble, de modifications de rituel, voire tous les Maîtres. Ainsi, l’appropriation par des cherchants sera meilleure. Si elle s’ouvre par la question : « Qu’est-ce qui est modifiable, ajoutable, et qu’est-ce qui est intangible ? ».

Voici un exemple réel. Il s’agissait de préciser comment la scène du cadavre pouvait être montée, lors de l’initiation, comme cela se fait de plus en plus. Qui se couche ? un Apprenti ? un Maître ? Dans quelle position ? à plat ou les jambes sur les marches ? Fait-on l’obscurité ou la pénombre suffirait-elle ? La question fut étudiée en Chambre du Milieu. Et les décisions furent prises à l’unanimité. En faisant le point après deux essais. Et aujourd’hui, nous avons adopté la nouvelle manière. Avec plaisir. S’il n’y avait pas eu de flottement dans notre pratique, nous ne serions pas partis dans la découverte des sens croisés.

Le pire, dans la réduction du flou, est de décider sans approfondir vraiment, les motifs du choix. J’ai connu des loges qui faisaient comme ceci, comme cela, mais ne savaient plus pourquoi. Face à la pétrification du sens, et à la soumission aveugle

 

aux usages, la souplesse dans le rituel apporte la santé de l’esprit. Rien ne peut faire plus pleurer, qu’un Grand Expert qui ne connaît pas le sens profond de ce qu’il est amené à faire. Et qui remplit son office comme une mécanique.

Le flou dans certaines lectures du rituel est porteur de promesses et de d’opportunités de marcher ensemble sur les chemins mystérieux de l’initiation.

Deuxième situation - Le thème de la tenue de ce soir-là est clair : « De midi à minuit dans la quête maçonnique ». Les interventions vont bon train. Peu à peu, le Vénérable sent que l’on dérive, que les idées partent de côté. Sur les colonnes, l’enthousiasme ne cache pas le vertige du « hors sujet ». Et ce n’est pas la première fois. C’est une fâcheuse ( ?) habitude de la Loge Les Amis réunis. Aussi, le Vénérable s’apprête à reprendre la parole sur le thème du « revenons à nos moutons »… « Halte là, mon Frère Vénérable ! Laisse ton maillet tranquille ! Ils sont hors sujet ? Je vais te dire ce que je pense à ce propos, sur les parvis ».

Paradoxalement, c’est dans les dérives que l’on est dans le sujet, et il est utile qu’il y ait assez de flou pour que chacun(e) intervienne sur ce que bon lui semble. Pour quelques motifs. D’abord en tenue, nous ne sommes pas dans un examen de passage et nous devons nous méfier de nos conditionnements, ainsi que nous le rappelle le deuxième voyage et les éclats de la pierre, que nous faisons voler. Ne nous laissons pas enfermer sur la ligne de départ. Ensuite le flou de pensée qui s’installe, apparemment opiniâtrement, dans le cas cité, est tout bénéfice pour la liberté d’expression des Frères, des Soeurs. Ce sentiment n’est-il pas plus important que le cantonnement dans des bornes ? D’ailleurs personne ne nous attend à la sortie pour vérifier une qualité, définie comme un resserrement des apports autour du thème. En outre, ce flou laisse aller le groupe-loge là où il le ressent, collectivement et inconsciemment. Pour bâtir son histoire, pour vivre un mythe, pour imaginer et rêver. Bref le flou permet à l’égrégore, l’esprit de Loge, de s’incarner le temps de la tenue. Et de se consolider, les tenues se succédant, dans la même recherche invisible, mais qui met la joie dans les coeurs. Enfin les dérives, si souhaitables, remplissent un rôle essentiel, l’évitement des dialogues à proscrire.

Car les interventions se promènent de-ci, de-là, sans souci de cohérence et demande de réponse. Oui, chacun(e) apporte sa pierre. Ajoutons que le flou, dans la logique, laisse les uns et les autres dans l’expectative : il n’y a pas de raisonnement implacable, mais des apports qui sont autant de messages1« à sauts et à gambades » comme l’écrit Montaigne.

1 « Message » - voir le glossaire.

2 « Anabase », « Catabase » - Voir le glossaire.

Troisième situation - Le troisième et dernier flou m’apparaît comme le plus fécond dans la quête de soi-même. Indispensable dans notre si belle voie ; elle qui nous fait monter en esprit. C’est l’anabase. Elle qui nous incite à descendre dans le monde profane et c’est la catabase2. C’est celui de l’imprécision des symboles dès lors

que la Soeur, le Frère se laisse aller et divague. Je m’inscris résolument dans l’idée qui veut, qu’à partir d’un arcane : rite, mythe, symbole, on peut dire n’importe quoi. Je sais, je peux choquer car là, encore une fois, je défouraille et menace le conditionnement scolaire, si cher au coeur des compatriotes. Oui car, quand on se laisse aller, on ne dit jamais n’importe quoi. Le détail importun est dévoilement de l’identité de l’intervenant. Quel meilleur terreau de la fraternité pouvons-nous trouver ? Cette fraternité mêlée de « frérocité 1». Car, en cas de mauvaise foi et/ou de résistance, les mauvais Compagnons restent embusqués. Car, si je te connais mieux, mon Frère, ma Soeur, je te comprends mieux, et je t’aime mieux. L’équerre, disent les dictionnaires ad hoc, c’est la droiture. Mais si je trouve que l’équerre m’attendrit, et que le creux qu’elle forme avec les deux branches, loin de m’inspirer de la raideur, m’invite à me blottir, c’est mon histoire. L’affect, telle sensation, telle émotion, tel sentiment, n’est-ce pas ce qui me caractérise, et que je dis en pleine confiance et en toute transparence ? Peut-on trouver une expression plus personnelle, sans logique glacée, sans collage de savoirs ?

1 « Frérocité » - Voir le glossaire

2 « Les nouvelles psychologies », comme la psychologie mimétique, la psychologie évolutionniste, la psychologie positive, l’intelligence émotionnelle. Tous ces termes sont expliqués dans le glossaire.

3 « Dualisme » - Voir le glossaire.

Et c’est dans ce double travail de recherche de mon identité, et de son partage en Loge que le flou est roi. C’est toujours facile de collecter des faits glacés et glanés chez les historiens et dans les dictionnaires de symboles ; un peu moins, si le projet est de démontrer une idée avec ses opinions ; mais l’exercice devient difficile quand il faut repérer et délivrer ses émotions. Parce que, une fois encore, le conditionnement ne joue pas en notre faveur. Bien élevés(es), nous avons appris que l’on ne parle pas de soi. Et que les émotions, les sentiments, c’est soi. Oui ! j’en conviens, mais l’introspection, c’est parler de soi. Et un parcours de sagesse, maçonnique en l’occurrence, est tissée des découvertes intimes. D’autant plus que, le faisant, on encourage les autres à descendre le long de la perpendiculaire ; et à explorer ce qu’ils(elles) vivent dans les couloirs sombres de leur vérité, jamais circonscrite. Avec des mots noyés de flou, et qui s’en moquent. L’important n’est-il pas d’ouvrir la porte, pour soi, pour les autres ? Nous savons tous communiquer nos émotions à travers ce qui se dit à la surface des mots et des phrases. Souvent sans nous en douter. Ne sait-on pas, depuis deux ou trois décennies, que l’intelligence émotionnelle est le premier ciment entre les Hommes ? Le rationnel est second, analysent les neurosciences et les nouvelles psychologies2. Peut être serait-il bon de changer le fusil d’épaule : un raisonnement logique n’est pas un excellent gibier, quand le flou émotionnel est délicieux !

Le flou est, au bout du compte, une manière d’avenir de la Voie maçonnique. Nous n’aurons que faire des certitudes dualistes3 du pavé mosaïque. Accueillons sans retenue le flou ! Avec lui, nous tanguons sur le sable, nous doutons. N’est-ce pas appréciable ? Avec lui, nous perdons la rigidité des bonnes raisons. La souplesse n’est-elle pas nécessaire pour nos articulations mentales ? Avec lui, nous laissons libre cours à l’intuition, elle qui sait nous faire dire tant de choses. Avec lui enfin, l’imagination est au pouvoir.

Hier, nos Loges brandissaient la lumière de la raison, la vigueur des démonstrations serrées. Demain, dans nos expressions, nous élargirons, aventureux et joyeux, nos plages de choix. Dans cette Franc-maçonnerie libérative1, les tenues seront, je l’espère, encore plus des lieux d’exercice d’une liberté qui est toujours assoiffée. A moins que, à cause de « l’Eloge du flou », on ne devienne, grâce à la langue des oiseaux, des « Loges du fou ». Et pourquoi pas ?

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